Pour les raisons évoquées ici, rares sont les grands constructeurs qui s'aventurent sur le terrain des motos dites "non conventionnelles".
BMW a perçu les limites de son Duolever et a conçu une moto de Superbike faisant la synthèse des meilleures solutions utilisées partout : fourche télescopique, moteur 4 cylindres en ligne, cadre-pont en aluminium, long bras oscillant ...etc.
En Moto 2, malgré les opportunités offertes aux concepteurs de châssis, tout le monde fait sensiblement les mêmes choix (le moteur imposé ne facilitant guère le moindre "exotisme" de conception).
BMW a perçu les limites de son Duolever et a conçu une moto de Superbike faisant la synthèse des meilleures solutions utilisées partout : fourche télescopique, moteur 4 cylindres en ligne, cadre-pont en aluminium, long bras oscillant ...etc.
En Moto 2, malgré les opportunités offertes aux concepteurs de châssis, tout le monde fait sensiblement les mêmes choix (le moteur imposé ne facilitant guère le moindre "exotisme" de conception).
L'équipe JBB, quant à elle, est une petite structure associative. Aucun de ses membres ne vit de la course moto même si beaucoup vivent pour elle ! Le JBB team n'a ni les moyens ni la structure nécessaire pour s'engager en Grand Prix et faire toutes les courses du calendrier. L'endurance et la participation aux 24 heures du Mans et au Bol d'or reste la seule compétition accessible à ce jour.
Convaincre un team existant relève de la "mission impossible". En effet, les pilotes de Grand Prix et leurs agents s'efforcent de gérer une carrière avec le plus d'efficacité possible et une certaine "obligation du résultat". La prise de risque (au sens technique) devient impossible. Tous les pilotes souhaitent rouler avec la meilleure moto du moment. Celle qui a déjà fait ses preuves dans le championnat où ils se battent.